Cursus complet 210H
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Ce documentaire sur la phyto aromathérapie soulèvent les
paradoxes actuels des systèmes de soin des pays riches et
des recherches scientifiques croissantes en matière
d'aromathérapie et de phytothérapie.
Les limites des médicaments chimiques face à la
résurgence de maladies que l'on croyait
éradiquées et leurs effets secondaires font que
de plus en plus de personnes, médecins comme patients, se
tournent vers d'autres voies thérapeutiques plus
respectueuses de l'individu, aussi efficaces mais moins
chères.
La phytothérapie et l'aromathérapie,
fondées sur l'usage des plantes, étaient
utilisées jadis suivant les intuitions de la tradition.
Aujourd'hui, ces pratiques font l'objet de recherches scientifiques qui
laissent entrevoir un marché potentiel énorme,
directement lié à la richesse de la
biodiversité de pays du Sud. Or, les
réglementations restent mal appliquées et presque
toujours en défaveur des pays qui détiennent ces
richesses.
Le système de santé des pays les plus riches sont
en crise. Chacun s'applique à réformer ou
à aménager ce qui appartient
déjà sans doute au passé. Mais l'art
de soigner n'est unique ni dans son offre thérapeutique, ni
dans son rapport au patient; et les nouvelles thérapies sont
de plus en plus présentes dans nos pays.
En ce début de 21ème siècle, les traitements
naturels issus dans plantes médicinales
concurrencent sérieusement notre pharmacopée
conventionnelle. Tout ceci engendre de profondes mutations sur la
santé et une ruée sur la biodiversité
des pays du Sud.
Comparé aux pratiques médicales des pays riches,
cet art de guérir dont le sens parfois nous
échappe semble anecdotique. Car le coût de notre
santé est devenu extrême, tout comme la
sophistication de l'offre thérapeutique et des normes de
sécurité qui l'accompagnent. La plupart de pays
développés bénéficient de
systèmes de santé efficaces.
Mais les coûts
de cette santé sont devenus vertigineux et de plus en plus
difficile à financer. Cette inflation des coûts
incombe pour partie au prix des médicaments. Les sommes
investies pour découvrir une nouvelle molécule et
la tester jusqu'à la phase finale du médicament
sont considérables, alourdissant gravement les budgets de
santé dans la plupart des pays
développés.
Pendant combien de temps encore seront nous à même
d'assumer de tels coûts? Entre le moment où
naît dans l'esprit du chercheur l'idée qu'une
nouvelle entité chimique pourrait devenir un futur
médicament et celui où cette molécule
est susceptible d'arriver sur le marché, il faut compter en
moyenne de 7 à 12 ans; et les échecs sont
légions. Sur 100
molécules étudiées au
stade de l'étude clinique, 3
seulement deviennent des médicaments. L'arrêt au
cours de développement est une grande partie de la recherche
pharmaceutique.
" Il
faut comprendre qu'un médicament, c'est d'abord un principe
actif, c'est-à-dire la molécule qui est
responsable de l'activité escomptée; et puis
d'autre part cette molécule à terme doit devenir
un produit pharmaceutique dans sa forme physique, un produit qu'on
puisse administrer chez le patient, par exemple un comprimé,
une forme injectable ou autre. " Philipe Pitchen, dir.
Développement chimique et pharmaceutique, Pierre Fabre
Les étapes à franchir au court du
développement d'un nouveau médicament sont
essentiellement celles de l'expérimentation animale dite des
pré-requis et celles des essais cliniques sur l'homme.
Expérimenter sur l'animal de nouvelles substances
répond au souci médical et éthiques de
ne pas exposer des êtres humains en première
ligne. L'évaluation sur l'homme ne pourra être
entreprise que si les résultats de
l'expérimentation animale ont été
jugés favorables, c'est-à-dire prometteur et
sécurisant.
" Pour
passer chez l'homme, on va donc entamer un développement
clinique qui va se dérouler selon trois phases. Tout d'abord
une phase 1. La phase 1 est effectuée chez des volontaires
sains, c'est tout simplement pour tenter d'explorer la
tolérance de la molécule en question. On va faire
une formule simple qui permet simplement d'aller rapidement chez le
volontaire saine; on va l'administrer à des doses de plus en
plus élevées jusqu'à ce qu'on trouve
des effets secondaires indésirable qui sont
légés. Il s'agit une phase 1 chez des volontaires
sains encore une fois, il ne s'agit donc pas de causer quelque
problème que se soit à ces personnes;
çà nous donne quelque chose qui est
très important dans le développement clinique qui
est la dose maximum tolérée. On peut alors
décider d'entrer dans la phase 2 qui est le moment le plus
important de la recherche et du développement. En phase 2,
on va cette fois administrer la molécule au patient. On
cherche à établir la preuve du concept; et la
preuve du concept çà veut dire
l'activité avérée chez le patient pour
la molécule qu'on étudie. C'est le moment magique
où on va découvrir chez l'homme si enfin tous les
efforts d'un travail de nombreuses années en recherche et en
développement en phase 1 sont couronnés de
succès. On va là voir et vérifier
enfin que notre molécule et active chez le patient. On
regarde les données et soit çà marche,
soit çà ne marche pas. Quand
çà marche chez le patient, on a enfin la preuve
du concept; la preuve et l'idée de pouvoir continuer le
développement jusqu'à son terme avec
succès augmente, parce qu'ils tiennent là un
projet qui a de bonnes chances d'aller jusqu'au bout. La phase3, on va
la faire toujours chez le patient, sur des cohortes de patients bien
plus élevées pour avoir des réponses
qui soient statistiquement significatives, pour vérifier
qu'elle peut être administrée sur un certain
nombre de population particulière des enfants par exemple,
des personnes âgées, des personnes
présentant un certain nombre d'insuffisance; et puis surtout
pour un produit en oncologie, le traitement de cancer. On pourra dans
certains cas se satisfaire d'une centaine de patients pour de produits
de cardiologie ou en système neuro-centrale par exemple; et
bien là ce sont des milliers voire quelques dizaines de
milliers de patients qui devront être inclus dans l'ensemble
du développement et donc avec des coûts et des
durées très très
élevées. Il faut savoir que de
développement d'une molécule est de 400,500, voir
même 800 millions d'euros pour aller jusqu'au bout. Ce
coût intègre bien sûr les
échecs enregistrés sur les nombreuse
molécules qui tombent cours de développement.
" Philipe Pitchen, dir. Développement chimique et
pharmaceutique, Pierre Fabre
Beaucoup de moyen donc, beaucoup de risque économique et
financier aussi, mais en cas de succès les
retombées sont considérables.
Deux facteurs sous
tendent le processus draconien de l'autorisation de mise sur le
marché:
" Tout
médicament a son revers. Il est efficace, mais il peut
être toxique. Tout dépend de la dose. C'est un
principe simple qui se vérifie toujours. Un
médicament est testé en
général sur quelques milliers de personnes,
admettons 2000, 3000, 5000 personnes? C'est déjà
énorme comme essai clinique compte tenu du coût
d'un seul dossier. Mais sur ces 5000 cas vous ne voyez pas des effets
rares. Les effets rares c'est tous les 10 000, 50 000, 100 000. Donc en
fait, vous testez le médicament après sa
commercialisation. " Dr. Bruno Donatini,
Gastro-entérologue et cancérologue.
Jusqu'à quel point est-il raisonnable de faire peser sur la
collectivité la dépense de capitaux colossaux
pour obtenir in fine des médicaments qui comportent encore
un niveau de risque élevé pour le
santé. Poissons et remèdes sont
généreusement à notre disposition dans
la nature, mais nous avons sans doute perdu
énormément l'usage des uns comme des autres alors
que tous leurs secrets semblent avoir été
percés.
" Voilà
pour un litre çà suffira. Et si on a de la
consoude. Comme son nom l'indique çà consolide
les os. On utilise la plante et la fleur pour faire des pommades pour
reconstruire le cartilage des os, au genou et au articulations. Ici
vous avez la vipérine, qui est en sorte de la bourrache
sauvage, car elle a les mêmes vertus que la bourrache. On la
trouve dans la nature et c'est surtout pour les bronches, on fait du
sirop pour la toux. On fait les tisanes pour la toux, des cataplasmes
pour les bronches. Et puis vous voyez ici vous avez encore d'autres
plantes. Cà c'est le bouillon blanc, c'est enlever l'acide
urique. On utilise toute la plante, les feuilles, la fleur.
Là vous avez la même bourrache, là-bas
vous avez la scabieuse pour faire les bains de pieds. Parce que vous
savez quand on prend le bain de pied, on soigne tout le corps. Car au
bout des pieds vous avez des points terminaux qui correspondent avec
chaque organe. Ensuite là vous avez le millepertuis. Il
n'est pas encore en fleur parce qu'on est à 1600 m. Il
fleurit seulement au mois d'août. Avec le millepertuis, on
fait la fameuse huile de millepertuis qui est bon contre le zona,
contre les brûlures, les coûts de soleil.
Cà regonfle les petits coussinets qu'on a entre les
vertèbres pour fortifier la colonne. On peut
éviter ainsi l'opération d'une hernie discale. Il
y a deux personnes qui avaient déjà
programmées de se faire opérées en
mettant 3 fois par jour de l'huile de millepertuis sur la colonne avec
un linge chaud pour aider à pénétrer.
Cà a regonflé les petits coussinets qu'on a entre
les vertèbres et çà a remis la colonne
en place et on a peut éviter l'opération. "
Germaine Cousin
Dans notre vie quotidienne, nous savons tous que lorsqu'un produit nous
paraît trop cher nous nous en passons, ou mieux, nous lui
cherchons un remplaçant. C'est autant une question de bon
sens que de bonne gestion. Pourquoi ce bon sens ne s'appliquerait-il
pas au domaine de la santé? Ne pourrait-on
légitimement exiger qu'il nous soit proposé des
médications nouvelles tout aussi efficaces, mais moins
onéreuses? C'est très exactement ce que pense un
certain nombre de pionniers que se battent depuis des années
pour faire reconnaitre d'autres approches de la santé en
offrant des thérapies non conventionnelles et surtout moins
chères. Jean-Pierre
Willem, chirurgien et ethno-médecin est l'un
d'entre eux. Il a crée à Paris la
faculté libre de médecine naturelle et
d'ethno-médecine, un organisme indépendant
où il enseigne à des étudiants de tous
horizons.
"J'essaye
un petit peu de voir la richesse de toutes les cultures. Je suis un peu
ethnologue, si vous voulez, je fais des sciences humaines. J'essaye de
capter, de rassembler toute l'intelligence cellulaire des cultures.
Vous avez vu par exemple dans la médecine traditionnelle
chinoise qui a 4000 ans qui marche encore actuellement. Vous avec la
médecine ayuervédique. Vous avez pleins de
médecine qui ont leur actualité"
Jean-Pierre Willem
Fondateur en 1987 de Médecin aux Pieds Nus, il fut le
dernier assistant du docteur Schweitzer en 1964 à
Lamaberene. Là il découvre une
médecine faite de peu, adaptée à
l'état de la population de du pays témoignant de
l'intelligence de survis des peuples au coeur de sa
démarche.
"J'ai
eu une bourse pour aller à Lebreville, mais je m'en suis
évadé pour aller rejoindre à
Lambarene, le grand docteur comme on l'appelé. J'y allais
tout simplement pour une journée ou deux et je suis
resté 7 mois. Je n'avais rien pris comme affaire, donc il
m'a prêté ses chemises. Il m'a donné
trois chemises et aussitôt je me suis mis au travail. Il m'a
envoyé sur un chantier accompagné les
travailleurs. Le soir je faisais des petites opérations et
ainsi de suite; tout un travail qui été
très polymorphe." Jean-Pierre Willem
Le docteur Willem a participé à de nombreuses
missions humanitaires qui le met en contact avec des
sociétés ou la conception du corps, de la maladie
et la façon de se soigner sont très
différentes des nôtres. Il s'est plongé
dans ces cultures en y découvrant des richesses qu'il
n'avait jusque là guère suscitait
l'intérêt des Occidentaux. en 1965, il est en
mission au Rwanda.
"Sur
place, il y avait une pathologie qu'on appelait l'ulcère
phagédénique, c'est-à-dire c'est un
ulcère des spiro-fuso qui attaquait les chairs
jusqu'à l'os, c'était très douloureux,
et on amputait. C'était pas du bon boulot pour un
médecin, alors je me suis dit: il va falloir trouver une
solution. Et la providence était là. Je me suis
souvenu des momies, de la conservation des corps qui normalement
tombent en putréfaction. Je me suis dit: si on momifiait des
parties du corps encore vivant? Comment ils faisait? Ils mettaient des
huiles essentielles dedans, l'embaumement. Mais je ne disposais pas des
huiles essentielles de l'époque des momies d'y a 4000 ans.
J'ai mis du romarin, des huiles essentielles de romarin sur la plaie et
j'ai remarqué que 3 à 4 semaines plus tard,
l'infection était jugulée. Et une semaine plus
tard, il y avait un bourgeonnement, donc çà
voulait dire que les huiles essentielles marchaient. Il y a de grandes
pathologies qui sont abandonnées par la médecine.
On sait que la sclérose en plaque ceux sont des vaccins
vivants atténués, donc ceux sont des virus qui
continuent à travailler, mais non huiles essentielles vont
tuer les virus. Vous stoppez, les séquelles restes, mais
vous stoppez le processus. Pour les hépatites, il n'y a
rien. C'est un virus. Vous avez les A,B, etc... et bien vous avez par
exemple le thym thujanol qui est excellent, c'est un des meilleurs.
Vous avez le lédon du Groenland. Vous avez aussi la carotte
qui est excellent en huile essentielle et qui marche dans les
hépatites. Alors la pathologie aussi que l'on rencontre un
peu partout dans le monde maintenant dans tous les pays du tier monde,
c'est le sida. Et pourquoi pas? On a essayé dans des pays,
et çà s'est
révélé efficace, mais vous devinez
qu'on rentrait sur les plates-bandes d'autres. Ce n'est pas la peine de
faire un long discours. On soigne comme dans les catacombes,
c'est-à-dire qu'on se cache pour aller soigner, mais
çà commence à se répandre."
Jean-Pierre Willem
Jean-Pierre Willem à 62 ans, il est une figure centrale de
l'ethnomédecine et des thérapies par les plantes,
un catalyseur et un initiateur infatigable, un personnage qui
dérange. Certains patients lui sont envoyés par
des grands patrons d'hôpitaux en toute discrétion.
" Jérôme
présente une maladie qu'on appelle la mucoviscidose, c'est
une maladie génétique. Les symptômes
sont inclus dans la définition mucoviscidose,
c'est-à-dire qu'il n'arrive pas à
éliminer les mucines qui inondent un petit peu son organisme
au niveau digestif au niveau pulmonaire et ORL. C'est pour cela que ce
type de malade est encombré. C'est un gros
problème respiratoire et digestif en deuxième
lieux. Toute la problématique est qu'on ne peut pas
intervenir au niveau génétique, mais on peut
intervenir au niveau des symptômes. Les symptômes,
c'est de pouvoir éliminer c'est mucosités qui
l'encombrent, qui l'asphyxient, et il n'y pas beaucoup de
thérapie, sinon les huiles essentielles. Ces huiles sont
mucolitiques; elles permettent de lyser tout ce qui est
mucosité. " Jean-Pierre Willem
" Quand
j'ai commencé les huiles, au bout de deux mois j'ai vu une
grande différence au niveau de la forme physique, vraiment
beaucoup plus en forme. Au niveau des examens, çà
n'a rien amélioré. C'est vraiment
l'état clinique qui a été
amélioré, c'est déjà
l'essentiel. Mon amélioration a commencé
exclusivement avec les huiles essentielles. Cà c'est claire
et net." Jérôme
Mais leur réussite indéniable auprès
de patients ne constituent pas aux yeux des autorités
sanitaires une garantie suffisante d'efficacité. La grande
difficulté pour ces thérapies alternatives est de
passer du stade "tradition", "intuition" à celui de
"vérification", "affirmation" et de fournir des preuves
scientifiques selon les normes applicables aux médicaments
conventionnels. Leur validation fait aujourd'hui l'objet
d'expérience et d'analyses pragmatiques de la part d'une
nouvelle génération de médecins et de
pharmaciens.
L'huile
essentielle de cannelle annihile, après 72 heures,
les staphylocoques dorés
" Ces
produits marchent. On n'a peut-être pas les moyens financiers
de mener des études cliniques comme l'industrie
pharmaceutique peut le faire. Mais par l'intérêt
des résultats que nous avons, nous espérons
fondamentalement déclencher des prises de conscience de
cette communauté scientifique qui va prendre ces
matériaux et prendre le relais de ce que nous avons
initié pour porter ces substances d'égal
à égal par rapport à ce qu'ils
connaissent bien dans le monde de la chimie de synthèse."
Dominique Baudou, Docteur en pharmacie, dir. Pranarom
Dominique Baudou est docteur en pharmacie. Passionné
d'aromathérapie, la sciences naturelle qui traite des
pathologies par les huiles essentielles, il fonde en 1994 la société
Pranarom. En quelques années cette
société belge spécialisée
dans la production et la commercialisation d'huiles essentielles est
devenu un des leader européen du secteur.
Bénéficiant d'un marché en plein
expansion, cette moyenne entreprise avec une production actuelle de 30
tonnes d'huiles essentielles diverses, connaît une croissance
annuelle de 30%. L'enjeu que représente les huiles
essentielles est énorme pour la santé publique
comme pour l'industrie pharmaceutique.
De plus en plus disponible sur le marché, les huiles
essentielles représentent souvent une alternative ou
d'excellents compléments aux médicaments
modernes, coûteux et souvent mal adaptés au
patient. Les huiles essentielles agissent avant tout sur les
pathologies bactériennes et virales, les infections, les
allergies. Elles ne se contentent pas seulement de s'attaquer au mal,
mais permettent de relever les défenses immunitaires du
patient, particulièrement dans le cas de maladies
infectieuses, virales ou de
dégénérescence tel que sida, cancer ou
maladie d'Alzheimer. Seule la famille des plantes aromatiques tel que
la lavande, les menthes, les origans, ou les marjolaines, les thyms,
les romarins permettent de produire des huiles essentielles. Les
molécules aromatiques de ces plantes font partie de leur
système de défense et sont majoritairement
extraite par distillation à la vapeur d'eau. Une huile peut
contenir des centaines de molécules actives entrant en
interaction avec non seulement l'organe à traiter, mais
aussi avec le corps tout entier. Cette complexité de
l'huiles essentielle permet d'éviter certains effets
secondaires et aussi de dérouter les virus prompt
à lutter face à une seule molécule,
mais incapable d'en déjouer plusieurs. Dans le domaine des
médecines naturelles, les huiles essentielles sont
rangés dans la gamme des produits hautement efficaces, mais
d'un maniement subtil. L'encadrement d'un thérapeute
maitrisant bien leur usage se révèle
indispensable. De nombreuses expériences utilisant les
huiles essentielles pour traiter des pathologies lourdes sont en court
dans le monde.
" On
m'a diagnostiqué séro positif il y a de cela deux
ans. Mais je crois que je suis infecté depuis plus de six
ans. Avant de commencer le traitement, j'avais beaucoup d'allergies.
Mon système de défense étaient
très bas. Mais quand j'ai commencé le traitement,
elles sont toutes parties. Même la conjonctivite que j'ai aux
yeux est en train de disparaitre complètement.
L'herpès qui apparait fréquemment s'en va aussi
d'un coup avec les mêmes huiles. La quintessence des plantes
contenue dans les huiles essentielles fait de
l'aromathérapie et de ceux habilités à
la pratiquer un outil thérapeutique puissant aux
perspectives prometteuses. Mais les plantes utilisées
à l'état naturel ou ayant subi très
peu de transformation comme le prône la
phytothérapie est aussi une discipline qui attire de plus en
plus d'adeptes à la recherche de méthodes
thérapeutiques plus respectueuses du corps et de l'individu."
En soignant avec des plantes, la phytothérapie permet de
préserver l'immunité de la personne en bon
état. Parce que finalement notre système
immunitaire est relativement fragile et si nous prenons beaucoup
d'antibiotiques, nous allons démolir notre
immunité, parce que les antibiotiques vont agresser
fortement la flore intestinale; et que quand notre flore intestinale
qui constitue finalement 80% de notre système immunitaire
est en mauvaise état, nous ne nous défendons plus
bien contre les maladies. Donc les remèdes en
phytothérapie vont épargner la flore intestinale
et donc éviter cet inconvénient là.
" La
phytothérapie est une méthode
extrêmement précieuse pour les enfants parce
qu'elle va permettre de préserver chez eux un terrain vierge
et de ne pas les polluer ou en tout cas le moins possible. Il faut se
souvenir tout de même que les médicaments peuvent
être une des sources de pollution. Et c'est comme
çà que je me suis décidée
à vouloir faire une médecine de terrain; parce
que je pense qu'on peut en comprenant bien comment est le terrain de la
personne, lui prescrire des plantes qui vont être
indiquée pour la pathologie qu'elle présente,
mais également pour son terrain à elle, pour la
personne qu'elle est en particulier. Et çà c'est
une grande richesse. " Dr Dominique Méan,
Médecin en phytothérapie et acupuncture
A turin, en Italie, le docteur Grandi, ethno-médecin et
cancérologue a mis au point un médecament
à bas d'extraits naturelles de plantes dont la secorinega
africana , une euphorbiacée d'Afrique de L'Est disponible
sur le marché international, un médicament qui se
révèle très efficace contre les
hépatites et les cancers du foie.
" Nous
avons un groupe de patient qui utilise ce produits depuis deux ans.
Nous avons constatez que sur 80% d'entre eux, il y a non seulement une
normalisation des phénomènes de destruction des
fonctions hépatiques, mais surtout une destruction de la
charge virale; et quelque fois disparition du virus qui peut
n'être que temporaire, ensuite réduction de la
fatigue et amélioration de la qualité de vie. Ce
n'est pas mal surtout si l'on tient compte du fait que les patients
sélectionnés ne pouvaient subir d'autres
traitements ou qu'ils en avaient déjà subi mais
sans succès. Mais on peut surement faire mieux.
" Docteur Maurizio Grandi, Oncologue et Immunohématologue
"
J'ai récupéré une vie tout
à fait normale. Je vais même skier, je marche
même si je suis un peu paresseux. Je conduis la voiture tout
à fait normalement. A lépoque où
j'avais la tumeur, on m'avaient dit que je pouvais espérer
vivre quelques années. Cà fait maintenant 15 ans.
"
A Anoye, dans le Nord du Vietnam, le professeur Vu Van Chuyen,
botaniste et pharmacien renommé, a mis au point toute une
série de médicaments à base de
plantes. Son médicament contre les brûlures a
été largement utilisé pendant la
guerre du Vietnam. Il a également mis au point un
médicament pour lutter contre la toxicomanie, et plus
récemment avec son équipe un
médicament contre le sida. Ce médicament est en
phase de développement clinique et donne des
résultats très prometteurs. Il devrait
bientôt être commercialisé au Vietnam.
"
Notre remède est préparé à
partir de plantes médicinales, il n'est pas dangereux. Le
traitement est offert à domicile et il n'a pas d'effets
secondaires...Le malade redevient normal, il est en bonne
santé. Le remède est
préparé à partir de plante
médicinales et c'est beaucoup plus bon marché que
le traitement par voie chimique. Un médicament chimique est
beaucoup plus chers, mais l'effet est beaucoup plus bas, et le temps du
traitement est beaucoup plus long. " Professeur Vu Van
Chuyen, botaniste et pharmacien.
Il n'est pas de jour où l'on apprenne l'existence de
produits ou de traitements qui se révèlent
efficaces et paraissent bien adaptées aux
réalités économiques, physiologiques
et cultures de tous les pays dont ils proviennent. Alors s'ils existent
dans certains des traitements efficaces et de meilleur
marché que ceux proposés par la
médecine officielle pourquoi ne pas les utiliser? Pourquoi
ne pourrions-nous pas en disposer? La question semble s'adresser autant
aux grands pays industriels embarqués dans une course folle
aux dépenses de santé qu'aux pays en voie de
développement pour qui la pharmacie moderne reste
inabordable et souvent inadéquate. Pour les pays
industriels, on peut estimer que bon sens et
nécessité économique faciliteront les
coexistences thérapeutiques. Pour les pays en voie de
développement, l'enjeu sera de pouvoir
bénéficier de l'immense patrimoine
génétique de la nature en produisant leur propre
médicament et en bénéficiant d'un
marché international en pleine expansion.
Souvent lassé d'une médecine qui ignore trop
souvent que chaque personne est un cas particulier, le public
paraît vouloir se tourner de plus en plus vers d'autres
médecines, vers d'autres traitements.
L'efficacité relative des molécules disponibles
face aux mutations continuelles des maladies virales, des
médicament toujours plus coûteux à
produire et dont le remboursement pose des problèmes
grandissants, les traitements, tels que nous les avons connus jusqu'ici
vont devoir évoluer et comme pour beaucoup de professionnels
le fabuleux patrimoine génétique de la
planète contient à l'évidence tous les
espoirs d'une médecine mieux adaptée à
la demande du public.
Ce fabuleux patrimoine génétique de la
planète se trouve à 90% dans
l'hémisphère sud. Devant l'importance des
marchés de la santé, les tentations de pillages
et expoliations sont énormes. Après les
matières premières et le pétrole,
verra-t-on les pays riches mettrent la main sur ce qui
représente une source de développement pour les
pays pauvres? Dans les forêts équatoriales de
l'Amazone, les prospecteurs mandatés par des groupes
pharmaceutiques ou agissant pour leur propre compte, collectent
plantes, savoir, informations sur les plantes médicinales,
cherchant à en connaître les secrets
auprès de tradi praticiens et des autochtones.
Le barbasco cette anesthésiant utilisés depuis
toujours par ces pécheurs pour attraper leurs poissons, ne
pourraient-ils pas fournir la base d'une nouvelle molécule
utile pour la santé des hommes? Pourquoi puiser à
la source des pouvoirs ancestraux? Les ethnobotanistes
répondent haut et fort: 24 000 plantes sont
utilisées en médecine traditionnelle dans le
monde entier. Quand les peuples vivent depuis des siècles
dans les régions où la flore est si
variée et qu'ils transmettent leur remèdes de
génération en génération,
leur usage quotidien des plantes produit autant d'informations
pertinentes que des essais cliniques à grande
échelle.
Ces informations, ces spécimens d'essais savoir une fois
récoltés sont ensuite utilisés dans
des centres de recherches et de zone production en Europe ou ailleurs
loins des zones de cueillettes. Quelques dollars, quelques emplois,
quelques société écrans tentent de
faire oublier le pillage. Un pillage qui s'est mise en place au
début des années 50 en toute impunité,
aucune législation n'existant à
l'époque. D'autre part, la soi-disant dépendance
des pays du Nord vis-à-vis des ressources des pays du Sud
est de moins en moins d'actualité, car
différentes avancées technologiques sont en train
de bouleverser le paysage médicale et scientifique.
L'industrie dispose maintenant d'automates qui permettent de tester
jusqu'à 100 000 extraits de plantes par jour sans se soucier
des connaissances acquises de l'usage traditionnelles des ces plantes.
Un tel outil donne la possibilité d'explorer au cours des
prochaines années plus de substances naturelles que dans les
cinq millénaires précédents quite
à passer au crible toute la bio diversité
disponible. De plus, les progrès de la chimie permettent
d'obtenir rapidement les molécules obtenues dans les plantes
et de tester leur activité pharmacologique.
Enfin en agronomie, les derniers développements de la
recherche confirment que la culture sous serre et le clonage vont
permettre de reproduire dans des régions mieux
contrôlables et indéfiniment une plante
indigène prélevées dans son biotope.
Un échantillon quel qu'il soit est bien facile à
ramener dans ses valises et très simple à cloner.
Faut-il demander aux inventeurs sollicitant un brevet d'indiquer
l'origine de la substance naturelle prélevée pour
s'assurer que leur collecte est légale?
Ainsi les pays riches seraient sans doute en mesure de se passer de la
bio diversités de pays du Sud. Mais ceci reste encore
à prouver. Ne serait-ce que pour la qualité
irremplaçable des plantes médicinales qui
poussent dans ces régions du monde. Les instances
internationales tentent depuis plusieurs années de statuer
sur la propriété de la bio diversité.
La tâche est immense et les intérêts en
jeu énormes.
L'affaire du maca au Pérou est un parfaite illustration des
conflits d'intérêt qui entourent la bio
diversité, particulièrement depuis que ce
tubercule traditionnel péruvien a fait l'objet d'un
dépôt de brevet de la part d'un laboratoire
américain. Un tel brevet a toutes les chances de spolier le
Pérou des retombées économiques que ce
pays est en droit d'attendre du succès grandissant du maca
sur le marché international. Car depuis 1990, la production
n'a cessé de croitre pour atteindre 16 000 tonnes en 2002.
Ce tubercule est utilisé par les peuples andains depuis
l'ère Inca. Aujourd'hui, le maca est toujours
utilisé par la population des Andes pour ses pouvoirs
revitalisant. Le tubercule pousse exclusivement entre 3800 et 4100
mètres d'altitude et ces conditions climatiques
extrêmes ne sont probablement pas
étrangères aux vertus qu'on lui prête.
"Le
maca, c'est bon, on dit que c'est bon contre l'impuissance surtout pour
les personnes âgées, mais pas pour les jeunes.
Pour les jeunes, c'est bon pour le cerveau, pour les os, et ensuite
c'est bon pour la ménopause. " Dora Ramoz
Aponte, commerçante. " Il te
donne du calcium, il te donne de la force, des calories et de l'ardeur.
C'est bon pour l'anémie, la fatigue mentale; c'est bon pour
la fatigue sexuelle. "
Des rumeurs parlent du maca comme d'un viagra naturel. D'autres bruits
circulent évoquant son action antioxydante et
anticancéreuse. De tel promesses attirent bien des
convoitises.
Le chiffre d'affaires annuel du maca est de 3 millions de dollars.
C'est sans doute peu comparés au marché des
plantes médicinales, mais c'est un revenu important pour le
seul Pérou. Les grands importateurs de maca sont le Japon
avec 57% du volume globale de la production, suivi pour les Etats-Unis
avec 21% de cette même production. L'attrait
évident du produit en a fait une véritable cible
pour les firmes étrangères qui ont
déposés des brevets. En
réalité, le dépôt d'un
brevet par un pays étranger peu priver le pays producteur
des bénéfices de son patrimoine et de ses
traditions. Et comble d'ironie, ce dernier risque même de se
voir proposer en retour et au prix fort des médicaments
issus des produits de son territoires, dûment
breveté par d'autres.
L'affaire du maca contient toutes les données du
problème auxquels sont confrontés les producteurs
des plantes médicinales de la zone Sud. A qui appartient la
bio diversité? La nature est-il brevetable? Depuis le
conférence internationale de Rio en 1992, la bio
diversité n'appartient pas à tout le monde, mais
aux citoyens des pays où on la trouve. La convention stipule
que la bio diversité sera sauvegardée en
consultant les populations locales et en accord avec les pratiques,
savoirs, et modes de vie traditionnels. Au titre de cette convention,
les communautés autochtones seront donc les
propriétaires et gardiennes de leur patrimoine.
Mais deux ans après Rio, les pays membres de l'organisation
mondiale du commerce signent des accords à prioris
contradictoires. Ces accords stipulent que les plantes peuvent donner
lieu à des brevets et que ces brevets peuvent être
déposés par des ressortissants
étrangers au pays producteur. Les théories
s'affrontent donc et ces accords reflètent les
intérêts énormes qui entourent la
propriété de la bio diversité et
l'exploitation de ces richesses. Normal pour les uns, la
rémunération des savoirs et des plantes semble
excessive à d'autres. Après tout, devrions nous
aussi envisager de pays des redevances aux mexicains pour leur
maïs et au andains pour leurs pommes de terre ?
" On
a eu vent qu'aux Etats-Unis une série de brevet ont
été déposés sur le
marché maca, par sur le maca en soit comme ressource
naturelle, mais sur des produits dérivés du maca.
Ceci génère une inquiétude pas
seulement pour le circuit de la commercialisation au Pérou,
mais au sein des autorités péruviennes. Ceci dit,
si on nous empêche d'exporter nous perdront la
possibilité de poursuivre notre développement,
pas seulement au niveau de cette activité
spécifique et ce produit en particulier, mais au niveau du
pays dans son ensemble. " Javier Canales, Juriste
" Ceci
nous a interpelé parce qu'une fois de plus se
présentait à nous un cas typique de biopiraterie
où puissant dans les richesses biologiques du
Pérou, on sollicitait un droit sur un produit
spécifique, dans ce cas-si le maca et ses
dérivés. Les brevet ont été
solicités principalement par une compagnie des Etats-Unis
qui travaillent avec des plantes médicinales provenant du
monde entier. Cette situation a été à
l'origine de discussions pour savoir quelque type de
stratégie nous pourrions développer pour contrer
ses cas de biopiraterie." Manuel Ruiz, Dir.
Société Péruvienne de Droit Ecologique
" On
ne peut pas empêcher les dépôts de
brevets. Par contre il y a des choses que l'on peut faire au niveau
international. Et nous allons continuer à travailler, pas
seulement au Pérou, mais avec tous les pays
concernés et actifs dans ce domaine pour obtenir certaines
reconnaissance, certains instruments de droits internationaux qui
obligeraient toutes les entreprises à respecter certaines
normes lorsqu'ils effectuent de la bio prospection au Pérou.
" Begonia Venero Aguille, Vice-Dir. Institut
Péruvien de la Protection Intellectuelle
En réalité quand elles sont possibles, les
actions juridiques doivent être intentées dans le
pays qui commet l'infraction, ce qui rend l'opération
extrêmement coûteuse. S'il est certainement
inconcevable pour des petites communautés des Andes
d'entreprendre ce genre d'action, il l'est tout autant pour ces petites
usines de transformation qui conditionnent et distribuent le maca sous
forme de gélules et de comprimés. Les chercheurs
nationaux privés de moyens sophistiqués dont
disposent d'autres pays plus avancés, risquent
d'être les éternels seconds en matière
d'innovations. Poussés par l'exaspération de ces
secteurs concernés, il n'est pas exclus que
l'état péruvien n'intente une action juridique
sur le territoire même des Etats-Unis contre les
dépôts de brevets concernant le maca, ce qui en
cas de victoire constituerait un précédent
historique.
Face à la puissance des pays industrialisés qui
ont la capacité technologique, scientifique et
financière d'imposer un contrôle quasi mondial sur
les ressources génétiques, des pays comme le
Pérou, détenteur de la matière
première et du savoir traditionnel, se disent prêt
à relever le défit pour rétablir un
équilibre économique équitable.
Quelle que soit l'issu des négociations en cours ou
à venir, il paraît de plus en plus difficile de
persister à ignorer la rémunération
des savoirs ancestraux. Mais on peut au moins espérer que la
valeur ajoutée sur les produits reste dans les pays
producteurs.
"
Nous, nous sommes producteurs et rien de plus. Pourquoi nous cultivons?
Pour que les autres s'enrichissent. Et nous toute la vie nous mangeons
seulement un peu de maca, des pommes de terre froides et c'est tout. Et
eux, du bon argent, de beaux habits et les enfants bien
élevés. Nous dans toute notre vie, on ne
connaît même pas l'université, pourtant
c'est nous les producteurs de maca. C'est comme
çà que se déroule notre vie. C'est
comme çà que nous mourons dans les champs, c'est
comme çà au Pérou. "
Géromino Garcia, agriculteur
Très évidemment, les pays de la zone Sud
entendent bénéficier du trésor de leur
bio-diversité. Ils sont soutenus en cela par un nombre
grandissant d'associations, d'avocats ou d'ONG
exaspérés par l'impunité dont
jouissent prédateurs et spoliateurs. De nouvelles
propositions se font jour. Une des plus récentes
présentées sous forme de charte universelle,
stipule dans cet extrait que le patrimoine
génétique de la Terre sous toutes ses formes et
manifestations biologiques est antérieure à son
utilité et à sa valeur commerciale et doit donc
être respectée et protégée
par toutes les institutions politiques, commerciales et sociales. Que
le patrimoine génétique de la Terre existe dans
la nature et part conséquent ne doit pas être
réclamé comme propriété
intellectuelle même s'il a été
purifié et synthétisé en laboratoire,
qu'il est un héritage partagé, et donc une
responsabilité collective.
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